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Méditation de l’évangile de dimanche 27 Juin par le P.Xavier Guermonprez.
Ce dimanche nous fait avancer dans l’Évangile de saint Marc, -et même sauter par-dessus la délivrance de l’homme possédé par une légion d’esprits impurs-, pour écouter deux miracles de guérison. L’admiration des disciples conclut cette page d’Évangile (mot-à-mot du verset 42: « Ils s’extasièrent d’une grande extase »). Ces guérisons miraculeuses provoquent donc l’admiration de tous, mais Jésus nous invitera à aller plus loin… Et la vraie signification reste encore à découvrir! Comme Lui, laissons-nous conduire par l’Esprit qui vivifie…

Plus de renseignements (et autres belles photos!) sur la page internet: https://www.canson-infinity.com/fr/galerie/stephane-hette
PRIÈRE du psaume 12: (Lamentation du juste mais sa confiance en Dieu)
2 Combien de temps, Seigneur, vas-tu m’oublier,
combien de temps, me cacher ton visage?
3 Combien de temps aurai-je l’âme en peine
et le cœur attristé chaque jour?
Combien de temps mon ennemi sera-t-il le plus fort?
4 Regarde, réponds-moi, Seigneur mon Dieu!
Donne la lumière à mes yeux,
garde-moi du sommeil de la mort;
5 que l’adversaire ne crie pas: «Victoire!»
que l’ennemi n’ait pas la joie de ma défaite!
6 Moi, je prends appui sur ton amour;
que mon cœur ait la joie de ton salut!
Je chanterai le Seigneur pour le bien qu’il m’a fait.

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PRIÈRE des soignants, écrite par Sainte-Mère-Teresa:
Seigneur, Médecin suprême qui soignes et qui guéris, je m’agenouille devant Toi, car c’est de Toi que viennent tout Bien et tout Don parfait.
Tu m’as choisi pour Te servir, Te soulager et Te soigner dans les plus pauvres, atteints et diminués dans leur corps, leur cœur et leur esprit. Fais-moi prendre pleinement conscience du privilège qui est le mien d’être à Ton service. Je T’en prie, donne à ma main l’habileté et la douceur aimante, à mon esprit la perspicacité, à ma bouche les mots qui apaisent, à mon regard la tendresse et la bienveillance, et à mon cœur tout l’amour que Tu attends.
Fais que je ne regarde pas le temps que je vais passer auprès de Toi souffrant. Donne-moi de m’engager sincèrement à Ton service et accorde-moi la force de prendre, pour l’amour de Toi, une part du fardeau de mes frères souffrants. Enlève de mon cœur tout scrupule et toute mondanité pour qu’avec la foi simple d’un enfant, je puisse m’appuyer sur Toi.

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc. (Mc 5,21-43)
En ce temps-là, Jésus regagna en barque l’autre rive, et une grande foule s’assembla autour de lui. Il était au bord de la mer.
Arrive un des chefs de synagogue, nommé Jaïre. Voyant Jésus, il tombe à ses pieds et le supplie instamment: «Ma fille, encore si jeune, est à la dernière extrémité. Viens lui imposer les mains pour qu’elle soit sauvée et qu’elle vive.» Jésus partit avec lui, et la foule qui le suivait était si nombreuse qu’elle l’écrasait.
Or, une femme, qui avait des pertes de sang depuis douze ans… –elle avait beaucoup souffert du traitement de nombreux médecins, et elle avait dépensé tous ses biens
sans avoir la moindre amélioration; au contraire, son état avait plutôt empiré–… cette femme donc, ayant appris ce qu’on disait de Jésus, vint par-derrière dans la foule et toucha son vêtement. Elle se disait en effet: «Si je parviens à toucher seulement son vêtement, je serai sauvée.» À l’instant, l’hémorragie s’arrêta, et elle ressentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal. Aussitôt Jésus se rendit compte qu’une force était sortie de lui. Il se retourna dans la foule, et il demandait: «Qui a touché mes vêtements?» Ses disciples lui répondirent: «Tu vois bien la foule qui t’écrase, et tu demandes: “Qui m’a touché?”» Mais lui regardait tout autour pour voir celle qui avait fait cela. Alors la femme, saisie de crainte et toute tremblante, sachant ce qui lui était arrivé, vint se jeter à ses pieds et lui dit toute la vérité. Jésus lui dit alors: «Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix et sois guérie de ton mal.»
Comme il parlait encore, des gens arrivent de la maison de Jaïre, le chef de synagogue, pour dire à celui-ci: «Ta fille vient de mourir. À quoi bon déranger encore le Maître?» Jésus, surprenant ces mots, dit au chef de synagogue: «Ne crains pas, crois seulement.» Il ne laissa personne l’accompagner, sauf Pierre, Jacques, et Jean, le frère de Jacques. Ils arrivent à la maison du chef de synagogue. Jésus voit l’agitation, et des gens qui pleurent et poussent de grands cris. Il entre et leur dit: «Pourquoi cette agitation et ces pleurs? L’enfant n’est pas morte: elle dort.» Mais on se moquait de lui. Alors il met tout le monde dehors, prend avec lui le père et la mère de l’enfant, et ceux qui étaient avec lui; puis il pénètre là où reposait l’enfant. Il saisit la main de l’enfant, et lui dit: «Talitha koum», ce qui signifie: «Jeune fille, je te le dis, lève-toi!» Aussitôt la jeune fille se leva et se mit à marcher –elle avait en effet douze ans.
Ils furent frappés d’une grande stupeur. Et Jésus leur ordonna fermement de ne le faire savoir à personne; puis il leur dit de la faire manger.

.COMMENTAIRES:
Saint Marc rapporte deux récits de guérison, imbriqués l’un dans l’autre. Il n’emploie pas le mot « miracle », mais nous pouvons l’en déduire, car en effet « miraculum » en latin vient du verbe « mirari » qui veut dire « admirer »… Et c’est l’admiration qui conclut ce passage: « Ils s’extasièrent d’une grande extase »! (La liturgie traduit par «Ils furent frappés d’une grande stupeur».) Saint Marc nous donne de plus deux indices: la demande instante de deux personnes qui se trouvent à bout de ressources; et l’action de Jésus dont la portée dépasse les possibilités des autres.
Sous sa plume rapide, saint Marc décrit les scènes un peu comme des histoires racontées, sans chercher à nous donner les clefs d’interprétation. Pourquoi la maladie existe-t-elle? Comment est-ce possible de guérir? Quelle connaissance a Jésus de ce domaine de la vie, que n’ont pas les autres? Non, les réponses ne se trouvent pas dans le texte! Comme si l’auteur voulait que ses lecteurs cherchent par eux-mêmes! Et de fait, donner sens à la maladie, répondre au pourquoi du bien et du mal, ne relève pas d’une formule médicale, mais constitue un cheminement intérieur de chacun(e). Nous pourrions parler ici d’une « catéchèse », au sens étymologique du mot (« catechein » – « faire résonner », « provoquer un écho »)! Chacun(e) se trouve renvoyé à ses propres expériences humaines, en lisant, et cherche par lui(elle)-même les réponses qui l’aideront à avancer dans la foi.
Des exégètes se posent la question: pourquoi ces deux récits sont-ils imbriqués l’un dans l’autre? Ils ne semblent pas tellement évoquer la même situation… Pourtant, ces deux miracles de guérison touchent à la Vie, comme des prémices de la Résurrection! Saint Marc n’emploie pas encore cette image de Résurrection, car nous sommes au début de son livre, mais nous pourrions dire qu’il nous la suggère, quand il parle d’une force inconnue qui sort de Jésus, ou de relever la jeune fille (« Talithakoum« ). J’ai parlé de Vie comme d’un lien entre les deux récits imbriqués, voici pourquoi: la jeune fille se trouve au seuil de la mort à un âge (douze ans) où le corps se tranforme pour porter la vie; et la femme perd du sang depuis des années (douze ans aussi, comme un clin d’œil de la Providence), on imagine bien par l’endroit du corps que les chirurgiens de l’époque étaient incapables de guérir, la matrice capable de donner la vie. Cette femme donc ne pouvait plus donner la vie à cause de ses pertes de sang, et de plus elle était frappée d’interdiction de l’ordre du tabou, car le sang était perçu comme le lieu éminent de la vie!
Je veux juste ajouter que la Foi est également en question ici. Jaïre vient solliciter Jésus, rempli d’une confiance que personne ne conteste. La femme hémorroïsse touche le vêtement de Jésus en espérant une force de guérison, et se trouve exaucée; Jésus réagit positivement en lui disant: «Ma fille, ta foi t’a sauvée». Puis, à l’annonce du sommeil définitif de la jeune fille, Jésus répond: «Ne crains pas, crois seulement»! La confiance est bien en jeu dans ce texte: «Les mots latins fides (foi) et foedus (pacte, accord, alliance) proviennent d’une même racine indo-européenne, beidh-, qui a donné aussi en grec pistis et qui suggère d’une manière générale l’idée de confiance…» (Encyclopaedia-Universalis). Les foules et les disciples, et nous-mêmes lecteurs, à travers l’exemple des attitudes de Jaïre et de la femme hémorroïsse, sont sollicités à la confiance qu’un chemin de vie peut s’ouvrir au-delà des maux qui sont perçus comme des impasses à vue humaine!
Le pasteur que je suis se trouve touché par le geste de l’imposition des mains que Jaïre sollicite de Jésus. Un geste traditionnel que l’on employait sur les enfants pour les bénir et les reconnaître comme héritiers, que les Apôtres ont posé sur les autres « anciens » pour leur conférer la charge d’une mission, que les anciens posaient aussi sur les malades… Un geste qui se rapproche de la force inconnue qui sort de Jésus… Encore aujourd’hui les prêtres sont sollicités pour donner l’onction des malades, bénir des personnes, comme autant d’appels à un mieux vivre!
PRIÈRE de Syméon-le-Nouveau-Théologien:
Comment es-tu foyer de feu et fraîcheur de la fontaine,
une brûlure, une douceur qui rend saines nos souillures?
Comment fais-tu de l’homme un dieu, de la nuit une lumière,
et des abîmes de la mort tires-tu la vie nouvelle?
Comment la nuit vient-elle au jour? Peux-tu vaincre les ténèbres,
porter ta flamme jusqu’au cœur et changer le fond de l’être?
Comment n’es-tu qu’un avec nous, nous rends-tu fils de Dieu même?
Comment nous brûles-tu d’amour et nous blesses-tu sans glaive?
Comment peux-tu nous supporter, rester lent à la colère,
et de l’ailleurs où tu te tiens voir ici nos moindres gestes?
Comment de si haut et de si loin ton regard suit-il nos actes?
Ton serviteur attend la paix, le courage dans les larmes!
Syméon-le-Nouveau-Théologien (texte adapté par J.F Frié dans les éditions du Levain)

Vous pourrez trouver d’autres commentaires sur la guérison de la femme hémorroïsse, faits à partir de la représentation de la fesque ci-dessus, sur la page internet du journal Croire/La-Croix (lien ci-dessous).
Il y a notamment une interprétation vidéo de cette représentation antique (4mn40).
Cliquez sur ce lien: https://croire.la-croix.com/Abonnes/Les-videos-Croire.com/La-foi-dans-l-art/Diaporama-la-fresque-de-la-guerison-de-la-femme-hemorroisse

PRIÈRE de Saint Romain-le-Mélode, «Sauveur, sauve-moi!»:
Comme la femme souffrant d’hémorragie je me prosterne devant Toi, Seigneur, pour que Tu me délivres de la souffrance et que Tu m’accordes le Pardon de mes fautes, afin qu’avec componction de cœur je Te crie: «Sauveur, sauve-moi!» Elle allait à Toi en se cachant, Sauveur, car elle Te prenait pour un simple humain, mais sa guérison lui a enseigné que Tu étais Dieu et homme tout ensemble. En secret elle a touché Ta frange, craignant dans son âme, se disant: «Comment me ferai-je voir de Celui qui observe tout, moi qui porte la honte de mes fautes? Si le Tout-Pur voit le flux de sang, Il s’écartera de moi comme impure, et ce sera pour moi plus terrible que ma plaie, s’Il se détourne de moi malgré mon cri: «Sauveur, sauve-moi!»
En me voyant, tout le monde me bouscule: «Où vas-tu? Prends conscience de ta honte, femme, sache qui tu es, et de qui tu voudrais t’approcher maintenant! Toi, l’impure, approcher le Tout-Pur! Va-t’en te purifier, et quand tu auras essuyé la tâche que tu portes, alors tu iras vers Lui en criant: «Sauveur, sauve-moi!»
Vous cherchez à me causer plus de peine que mon propre mal? Je sais que Lui Il est pur, et c’est bien pour cela que j’irai à Lui, pour être délivrée de l’opprobre et de l’infamie. Ne m’empêchez donc pas de crier: «Sauveur, sauve-moi!»
La Source épanche Ses flots pour tous: de quel droit La bouchez-vous? Vous êtes témoins de Ses guérisons. Tous les jours Il nous encourage en disant: «Venez à moi, vous que les maux accablent; moi, je pourrai vous soulager» (Mt 11,28). Il aime faire le Don de la santé à tous. Et vous, pourquoi me rudoyez-vous en m’empêchant de Lui crier: «Sauveur, sauve-moi!»
Celui qui sait toutes choses se retourne et dit à ses disciples: «Qui vient de toucher ma frange? (Mc 5,30)… Pourquoi me dis-tu, Pierre, qu’une grande foule me presse? Ils ne touchent pas ma divinité, mais cette femme, en touchant mon vêtement visible, a saisi ma nature divine, et elle a acquis la santé en me criant: «Seigneur, sauve-moi!»
Prends courage à présent, femme. Sois donc désormais en bonne santé. Ceci n’est pas l’ouvrage de ma main, mais l’œuvre de ta foi. Car beaucoup ont touché ma frange, mais sans obtenir la force, parce qu’ils n’apportaient pas de foi. Toi, tu m’as touché avec beaucoup de foi, tu as reçu la santé, c’est pourquoi je t’ai amenée maintenant devant tous, pour que tu dises: «Sauveur, sauve-moi!»
Prière de Saint Romain-le-Mélode (493-560), le plus célèbre des anciens poètes syriens-byzantins, diacre de la cathédrale de la Résurrection de Beyrouth, puis de l’église de la Théotokos à Constantinople.

Vous pourrez trouver une introduction développée au sacrement de l’onction des malades sur cette page internet: https://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/la-celebration-de-la-foi/les-sacrements/le-sacrement-des-malades/372980-rituel-du-sacrement-pour-les-malades/

UNE PRIÈRE CONTEMPORAINE:
Mains de douleur des souffrants, des affamés,
mains suppliantes des abandonnés, des exclus,
mains découragées des exilés,
mains crispées par l’argent et par la haine,
mains unies dans le pardon et la réconciliation,
mains du travailleur qui participe à l’œuvre de la création,
mains de l’artiste d’où jaillit le reflet de la beauté de Dieu,
Mains du professeur qui transmet un savoir,
mains de l’infirmière qui traduit la compassion du cœur de Dieu,
mains des parents qui disent la tendresse du Père des Cieux,
mains du prêtre, du missionnaire, des religieux et religieuses
qui portent en plein monde le Corps du Christ et sa parole.
Nos mains, ouvertes pour accueillir
les joies et les souffrances de nos frères,
ouvertes pour la prière et la louange,
ouvertes aussi pour le partage:
Un monde plus juste est à portée de main!
(Prière anonyme, trouvée sur le site prier.be)

Extrait de la PRIÈRE diocésaine proposée à tous les fidèles de l’Église catholique en Gironde (diocèse de Bordeaux) durant le temps de l’épidémie de Covid-19:
Dieu de Miséricorde, notre Père, tu nous as aimés le premier. Par la croix de Jésus ton Fils bien aimé, la vie a jailli au matin de Pâques, et, tu fais de nous tes enfants, unis au Corps de Jésus-Christ. Nous te rendons grâce toujours et partout, pour la Résurrection qui s’accomplit jusqu’à la fin des temps.
Durement éprouvés sur le chemin de Pâques, nous crions vers toi. Par ton Esprit-Saint, sauve-nous, ô Père, des forces de la mort. L’Église toute entière en appelle à toi: comme tu l’as accompli maintes fois pour notre monde, fais taire cette épidémie Seigneur! Permets qu’elle soit maîtrisée sans tarder…
Dans l’Esprit Saint, nous te prions les uns pour les autres: rends-nous attentifs à notre prochain, permets-nous de veiller sur les malades, les isolés, les aînés et les enfants, les endeuillés, les plus fragiles… Donne-nous d’être créatifs pour découvrir les soins, les gestes et les paroles qui apaisent.
Répands ton Esprit de force et de service sur ceux qui, jour et nuit, soignent malades et mourants. Répands ton Esprit de sagesse sur nos gouvernants qui ont à prendre des décisions difficiles. Répands ton Esprit de discernement sur ceux qui garantissent le fonctionnement efficace de l’état et des services sociaux. Accueille Seigneur dans ta paix ceux qui meurent aujourd’hui et console leurs familles.
Par la grâce de l’Esprit Saint, nous te demandons, Père,
que l’Évangile soit annoncé en actes, et que l’humanité en soit illuminée de douce joie, d’espérance, de résurrection. Que ta volonté soit faite! Amen.
(Extraits de la page internet: https://bordeaux.catholique.fr/vivre-et-celebrer/prieres-et-adorations/priere-diocesaine-durant-lepidemie-de-covid-19)

Un petit exercice pour celles ou ceux qui sont curieux: regardez bien l’image ci-dessous, et cherchez à déterminer l’âge de la personne représentée.

Cette image cache un piège: il s’agit d’une illusion d’optique! On peut y voir soit une vieille femme de profil au nez crochu, soit une jeune femme de dos à la longue chevelure… Pas de morale à en retenir, sinon que notre façon de voir le monde est beaucoup déterminée par ce que nous nous attendons à y voir! Par exemple, quand certains voient le découragement d’un événement imparable, d’autres voient le défi à relever pour un monde meilleur!
La tempête apaisée dimanche dernier, les guérisons inespérées dimanche prochain, agissent aussi sur notre intelligence comme des miroirs de notre humanité: nos peurs, nos désirs, nos regrets, nos tristesses et nos espoirs, se trouvent comme mis à nu devant Dieu! Mais loin de les utiliser contre notre liberté, Dieu nous aide à les dépasser dans la confiance, pour vivre « dans un cœur à cœur » avec Lui…

Dimanche marquera le 550ème anniversaire de la création de la prière de l’angélus! C’est l’occasion de mieux connaître son origine…
Voici un historique rapide sur cette page internet: https://croire.la-croix.com/Definitions/Fetes-religieuses/Annonciation/Quelle-est-l-origine-de-l-Angelus
Et un historique plus détaillé sur cette page internet: https://www.traditions-monastiques.com/fr/blog/origine-priere-angelus-annonciation-ave-maria-histoire-n177

QUELQUES CITATIONS pour détendre l’esprit:
«L’humour est un vaccin contre la bêtise.» (Pierre Samson, illustrateur de presse)
«J’ai décidé d’être heureux, parce que c’est bon pour la santé.» (Voltaire)
«Il vaut mieux être en retard dans ce monde, qu’arriver trop tôt dans l’autre.»
«Heureux celui qui joint la santé à l’intelligence.»
«On dit qu’il faut prendre son mal en patience… Et si l’on prenait notre bien en urgence?» (Ludovic Souliman)
«Se réveiller en bonne santé chaque matin est la plus grande richesse que nous puissions avoir dans la vie.» (anonyme)
«La liberté et la santé se ressemblent: on n’en connaît le prix que lorsqu’elles vous manquent.» (Georges Simenon)
«Le travail modéré contribue à la santé du corps et à celle de l’âme.» (Voltaire)


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Xavier Guermonprez, prêtre à Montargis.xguermonprez45@gmail.com